Jennifer Lawrence irradie la une du Vanity Fair américain

Jennifer Lawrence irradie la une du Vanity Fair amricain

Principale victime de la fuite de photos dénudées de nombreuses stars, Jennifer Lawrence fait la une du numéro de novembre de Vanity Fair américain, qui sortira le 8 octobre aux États-Unis.

Photographiée par Patrick Demarchelier à Los Angeles, fin juillet, elle accorde une longue interview, donnée deux semaines avant le scandale. « Le journaliste Sam Kashner a insisté auprès de l’équipe de Jennifer Lawrence afin de donner à l’actrice une chance d’avoir le dernier mot sur ce scandale », note le magazine.

« J’étais terrifiée : je n’avais aucune idée si cela allait avoir des conséquences sur ma carrière », se livre J. Law. Elle y rétablit sa vérité : « Le fait que je sois une actrice ne signifie pas que j’ai demandé cela. C’est mon corps et cela devrait demeurer mon choix. Je ne l’ai pas eu, cela me dégoûte. Je n’arrive pas à croire que nous vivons dans ce genre de monde. »

L’actrice de Hunger Games est restée silencieuse depuis la fuite des photos : « Chacun des communiqués que j’essayais d’écrire me faisait pleurer et me rendait en colère. J’ai commencé à écrire des excuses, mais je n’ai à m’excuser de rien. J’ai eu une superbe relation à longue distance, remplie d’amour et saine, durant quatre ans. Nous avions le choix : soit mon petit-ami regardait du porno, soit il me regardait moi. »

Et Jennifer Lawrence d’asséner : « Ce n’est pas un scandale : c’est un crime sexuel, un viol. C’est répugnant », ajoutant que la loi sur Internet doit changer et changera. « Que quelqu’un ait eu l’idée d’en faire commerce me dépasse. Ceux qui ont regardé ces photos devraient se sentir coupables. Je ne vous ai pas donné l’autorisation de me regarder nue. » C’est dit.

« Le temps guérit les blessures, continue-t-elle. Je ne pleure plus, je ne suis plus en colère. Je ne peux pas attendre que les coupables soient arrêtés pour être heureuse à nouveau. J’ai seulement besoin de trouver ma paix intérieure. »

À lire sur Vanity Fair.